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Dans l'Humanité du 3 mai 1968
"Non satisfaits de l’agitation qu’ils mènent dans les milieux étudiants — agitation qui va à l’encontre des intérêts de la masse des étudiants et favorise les provocations fascistes — voilà que ces pseudo-révolutionnaires émettent maintenant la prétention de donner des leçons au mouvement ouvrier. De plus en plus on les trouve aux portes des entreprises ou dans les centres de travailleurs immigrés distribuant tracts et autres matériels de propagande. […] Ces faux révolutionnaires doivent être énergiquement démasqués, car, objectivement, ils servent les intérêts du pouvoir gaulliste et des grands monopoles capitalistes. " (Georges Marchais) Avait-il vraiment tort? Aucun rapport évidemment avec l'actualité.
Une gauche soi-disant écologiste mais en vérité complaisante avec l’islamisme s’est précipitée à la défense du maire de Trappes Ali Rabeh. Le même maire dont l’élection est contestée pour propagande et qui a pénétré illégalement dans un lycée pour distribuer des tracts contre le professeur de philosophie Didier Lemaire, qui a eu le courage de se dresser contre la gangrène islamiste !
"Dans un État autoritaire il n'y a qu'une seule Vérité, proclamée d'en haut ; les journaux sont tous les mêmes, tout le monde répète la même vérité ; les émetteurs radio aussi.Dans un état autoritaire, il est jugé permis de modifier la vérité, de réécrire l'histoire rétrospectivement, de déformer les nouvelles, de supprimer le vrai, d'ajouter du faux : l'information est remplacée par de la prop En fait, dans ce pays, vous n'êtes pas un citoyen, un détenteur de droits, mais un sujet, et en tant que tel, vous êtes redevable à l'État (et au dictateur qui s'en fait passer), de loyauté fanatique et d'obéissance supine. "
Primo Levi (1919-1987), si c'est un homme, annexe, 1976
Peut-on parler de tout sans offenser personne ?
Comme Noam Chomsky disait :
“Si la liberté d’expression se limite aux idées qui nous conviennent, ce n’est pas la liberté d’expression.”
Dans ce livre, je me raconte.
En lisant ces quelques lignes, j’ai été émue, j’ai repensé à ce petit texte que j’ai écrit et publié sur X il y a quelques jours.
C’est vrai, naître fille a été douloureux. J’ai été mal accueilli par une mère toxique et violente qui voulait un garçon.
J’ai porté le poids du sexe féminin comme un lourd fardeau depuis ma naissance.
J’étais programmée à la soumission, moi aussi, comme ma mère, j’ai été mariée de force avec un homme (Salafiste) que
je ne connaissais pas, j’étais uniquement la fille de…puis la femme de…et ensuite la mère de…
Mais à aucun moment, je ne pouvais être moi juste moi celle qui se nomme Henda.
J’ai accepté cette vie déjà programmée, parce que je pensais que je n’aurai aucune autre issue, puis un jour, je me suis réveillée, je me suis rebellée pour reprendre le contrôle de ma vie, retrouver ma liberté et me réconcilier avec ma féminité.
Je dois le dire l’écriture a été ma thérapie, les mots sur mes maux, écrire c’est ce qui m’a sauvé…
Merci à toutes les personnes qui m’ont fait confiance et qui ont participé à la concrétisation de ce rêve, car depuis petite, j’étais passionnée de lecture, je rêvais de devenir écrivain.
Je l’avais déjà évoqué, mais mon entourage se moquait de moi quand je leur disais qu’un jour, j’écrirai un livre et finalement mon rêve s’est réalisé.
Qui aurait cru que Henda Ayari la jeune banlieusarde de Canteleu, la fille maltraitée, battue, enfermée, mariée de force, soumise, voilée, emprisonnée, l’esclave qui devait être au service de ses donneurs d’ordres, deviendrait un jour écrivain et classée parmi les 11 femmes les plus puissantes au monde de l’année 2017 par le New York Times?
Si on m’avait dit ça il y a quelques années en arrière, jamais je ne l’aurais cru ! Comme quoi tout peut arriver dans la vie. La vie réserve tellement de surprises.
Aujourd’hui, je le dis devant le monde entier, je suis fière de la fille que j’étais, mais encore plus fière de la femme que je suis devenue !
J’étais mal partie au départ, car ils ont entravé ma course, ils m’ont contrôlé avec des règles religieuses et des traditions absurdes, mais je me suis relevée, j’ai fait ma propre révolution et finalement j’ai été bien plus loin que ce qui m’était prédestiné.
Si j’y suis arrivée, toutes les femmes peuvent y arriver elles aussi !