La Boldavie sous le joug de l' Emir Abel !
J' ai fait un rêve mais en fait non ! Urnia la Boukrave est une Cimmérienne , elle ne pleurera pas , alors je pleure pour elle , par Crom ! C' est quoi ce bordel ? La Boldavie sous le joug de l' Emir Abel ! L'enfer, ce n'est pas les autres, c'est l'obligation de vivre avec eux.…2000 ans , on était jeunes !!!!! La bagarre !!!
Votre compte est restreint pendant 5 heures ! L’activité sur votre compte ne respectait pas nos Standards de la communauté. Vous ne pouvez donc pas effectuer une ou plusieurs de vos actions habituelles. FB de merde , égal à lui même et pourquoi ? Pendant que l’Amérique subissait les pires attentats de son histoire, les palestiniens, eux ,faisaient la fête et distribuaient des friandises. « le nom du suspect du meurtre de Grenoble est médiatiquement occulté, comme si il s’agissait d’un secret nucléaire » Comme toujours , il faut protéger Mathéo , Enzo , Enguerrand ! La France a un incroyable talent ! L'enfer, ce n'est pas les autres, c'est l'obligation de vivre avec eux. M et Mme Paslairbiensolidescesdeuxtours ont un fils? Son prénom ? Oussama ! Les apôtres de Doom et les Siths ont la douleur de vous apprendre la disparition du père ..... James Earl Jones, acteur américain voix de Dark Vador et de Mufasa, est mort à 93 ans ! Hommage ! La terre , il sera bien assez tôt , pour y retourner , dans la tombe ! Le temps a changé en 24 h , fraicheur , ciel gris , pluie , vent , feuilles qui changent de couleur ! Ca y est , l' automne arrive ! Envie de marcher dans la campagne comme Tintin et Haddock à Moulinsart , manger de la soupe de légumes faite maison avec des croutons !
Merde , on était jeunes !
Alizés qu'on prend de travers
Barrières de coraux sous la mer
Pour s'en aller vers le Cap Vert
Est-ce qu'on se souvient de tout ça, à Fortaleza
Est-ce qu'on se souvient de tout ça, à Fortaleza

Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C'est la Salsa

La bulle de bienveillance , le chemin de la compassion et la calotte de ses morts !
C'est une frangine porto-ricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C'est la Salsa
J'aime ces guerriers joyeux qui n'aiment plus les guerres
Combien de souvenirs sur ces bras tatoués
J'ai dansé
Je danse avec ma fille que des garçons entraînent
Déjà leurs yeux brillants lui font comme une traîne
J'aime les femmes rondes qui nous emmènent au bal
Tropical
Plus jamais penser à mourir
Plus jamais penser à dormir
Car jamais le soleil n'était monté si haut
Jamais été si chaud, si chaud, si chaud
Ah, j'ai dansé
Je vois tous les volants soulever la poussière
Tous les bras s'envoler comme pour la prière
Combien d'amants nouveaux pour annoncer l'été
Vont danser
Je danse avec mon fils, je danse avec mes frères
Je danse sur une île au loin perdu en mer
Je danse les yeux bandés, l'Amour est dans ce bal
Tropical
Plus jamais penser à mourir
Plus jamais penser à dormir
Car jamais mes amis n'étaient venus si beaux
Jamais sauté si haut, si haut, si haut
Ah, j'ai danse
Je vois des danseurs fous tourner dans la lumière
J'aime ces guerriers joyeux qui n'aiment plus les guerres
Combien de souvenirs sur ces bras tatoués
J'ai dansé
Je vois tous les volants soulever la poussière
Tous les bras s'envoler comme pour la prière
Je danse les yeux bandés, l'Amour est dans ce bal
Tropical
T’ es comme un chat triste – perdu sur la liste des objets trouvés
La nuit carcérale tombant sur les dalles et ce lit glacé
Aller et venir – soleil et sourire sont de l’autre côté
Ces murs – ces grillages – ces portes et ces cages – ces couloirs – ces clés
Cette solitude si dure et si rude qu’on peut la toucher
Ce rayon de lune sur le sol allume – visage oublié – de celui que t’aimes
Betty – faut pas craquer
Betty – faut pas plonger
Je sais – ils t’ont couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d’acier
Betty – faut pas pleurer
Betty – faut pas trembler
Je sais – tu vas rester là
T’aimerais plus te réveiller – plus jamais rêver
Je te dis je t’aime dans ce court poème – dans ce long baiser
Tu es ma frangine – juste une féminine que j’avais rimée
Je te donne ma force – mes mots et mes notes pour te réchauffer
Je n’ai pas sommeil – je fume et je veille et j’ai composé
Une chanson d’amour – une chanson secours pour l’autre côté
Pour ceux que l’on jette dans les oubliettes – dans l’obscurité
Pendant que les gens dorment au fond du conforme sans se réveiller
Betty – faut pas craquer
Betty – faut pas plonger
Je sais – ils t’ont couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d’acier
Betty – faut pas pleurer
Betty – faut pas trembler
LA BOLDAVIE SOUS LE JOUG !
L'enfer, ce n'est pas les autres, c'est l'obligation de vivre avec eux.Le travail , c' est l' esclavage , gai sur la vignolon ! Dans la Meuse profonde , les gauloises comme Lili Goth et Soizic de Kerfounec n' ont toujours pas de culotte !
BOLDAVIE LIBRE !
LE TEMPS CHANGE EN ETE !
Les Barbares habitaient dans les angles tranchants
Des cités exilées au large des business
Ils rivaient leurs blousons d'étranges firmaments
Où luisaient la folie, la mort et la jeunesse
La nuit le haut fourneau mijotait ses dollars
La fumée ruisselait sur nos casques rouillés
Dans le vestiaire cradingue, cinq minutes volées
A la fumée, au feu, au bruit, au désespoir
Oh mon amour emporte-moi, emporte-moi loin de la zone
Vers des pays chagrins, vers des pays faciles,
Vers des pays dociles
Des cités exilées au large des business
Ils rivaient leurs blousons d'étranges firmaments
Où luisaient la folie, la mort et la jeunesse
Oh mon amour emporte-moi, emporte-moi loin de la zone
Heu , vous faites quoi , là , les gars ? Rien à voir avec cette histoire ! Ben , non , on passait par là !
Les enfants croient au Père Noel , les adultes votent !
Je vais lui faire une offre qu'il ne pourra pas refuser !
Cheminées muettes - portails verrouillés
Wagons immobiles - tours abandonnées
Plus de flamme orange dans le ciel mouillé
On dirait - la nuit - de vieux châteaux forts
Bouffés par les ronces - le gel et la mort
Un grand vent glacial fait grincer les dents
Monstre de métal qui va dérivant
J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or
J'ai passé ma vie là - dans ce laminoir
Horizons barrés là - les soleils très rares
Comme une tranchée rouge saignée sur l'espoir
On dirait - le soir - des navires de guerre
Battus par les vagues - rongés par la mer
Tombés sur le flan - giflés des marées
Vaincus par l'argent - les monstres d'acier
J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or
J'peux plus exister là
J'peux plus habiter là
Je sers plus à rien - moi
Y'a plus rien à faire
Je coûte moins cher - moi
Que quand je travaillais - moi
D'après les experts
J'me tuais à produire
Pour gagner des clous
C'est moi qui délire
Ou qui devient fou
J'peux plus exister là
J'peux plus habiter là
Je sers plus à rien - moi
Y'a plus rien à faire
Je voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or...
Dans sa tasse de café, éteint la stéréo
Eteint le lampadaire, éteint le plafonnier
Eteint dans la cuisine, met la sécurité
Un couloir
Une porte
Un lit
C'est la nuit
Quelques pills pour dormir, je n'sais plus où je suis
Un store noir
Une porte
Un lit
C'est l'ennui
Rien à faire pour l'amour, mais ne dis pas toujours
Où es-tu, quand tu es dans mes bras ?
Que fais-tu, est-ce que tu penses à moi ?
D'où viens-tu ? Un jour tu partiras
Où es-tu, quand tu es dans mes bras ?
Je fais des mauvais rêves, j'suis sur un mauvais câble
Dans la paranoïa, pas de marchand de sable
J'vois en panoramique urgente et désirable
Une blonde décapitée dans sa décapotable
Cauchemar
Highway
Bad trip
Fumée noire
Une vamp vorace tue au fond d'un couloir
J'en sors pas
Cafard
Idées noires
Avalé par l'espace au fond d'un entonnoir
J'veux m'enfuir, quand tu es dans mes bras
J'veux m'enfuir, est-ce que tu rêves de moi
J'veux m'enfuir, tu ne penses qu'à toi
J'veux m'enfuir, tout seul tu finiras
J'veux m'enfuir, quand tu es dans mes bras
J'veux m'enfuir, est-ce que tu rêves de moi
J'veux m'enfuir, tu ne penses qu'à toi
J'veux m'enfuir, tout seul tu finiras
J'veux m'enfuir, j'veux partir, j'veux d'l'amour, du plaisir
D'la folie, du désir, j'veux pleurer et j'veux rire
D'la folie, du désir, j'veux pleurer et j'veux rire
J'veux m'enfuir, j'veux partir, j'veux d'l'amour, du plaisir
D'la folie, du désir, j'veux pleurer et j'veux rire
J'veux m'enfuir, quand tu es dans mes bras
J'veux m'enfuir, est-ce que tu rêves de moi
J'veux m'enfuir, tu ne penses qu'à toi
J'veux m'enfuir, tout seul tu finiras
J'veux m'enfuir, quand tu es dans mes bras
J'veux m'enfuir, est-ce que tu rêves de moi
J'veux m'enfuir, tu ne penses qu'à toi
J'veux m'enfuir, tout seul tu finiras...
Master And Servant (Maître Et Serviteur)
There's a new game
Il y a un nouveau jeu
We like to play you see
Auquel nous aimons jouer, vois-tu
A game with added reality
Un jeu avec de la réalité supplémentaire
You treat me like a dog
Tu me traites comme un chien
Get me down on my knees
Me mets sur les genoux
We call it master and servant
Nous l'appelons maître et serviteur
We call it master and servant
Nous l'appelons maître et serviteur
It's a lot like life
Cela ressemble beaucoup à la vie
This play between the sheets
Ce jeu entre les draps
With you on top and me underneath
Avec toi au dessus, et moi en dessous
Forget all about equality
Oublie tout sur l'égalité
Let's play master and servant
Jouons à maître et serviteur
Let's play master and servant
Jouons à maître et serviteur
It's a lot like life
Cela ressemble beaucoup à la vie
And that's what's appealing
Et c'est ce qui attire
If you despise that throwaway feeling
Si tu méprises ce sentiment qui n'a l'air de rien
From disposable fun
D'un amusement à jeter
Then this is the one
Alors c'est le bon
Domination's the name of the game
La domination est le nom du jeu
In bed or in life
Dans le lit ou dans la vie
They're both just the same
C'est du pareil au même
Except in one you're fulfilled
Sauf que dans un, tu es satisfait
At the end of the day
A la fin de la journée
Let's play master and servant
Jouons à maître et serviteur
Let's play master and servant
Jouons à maître et serviteur
Sweet Dreams
(Doux Rêves)
(Chorus:)
Sweet dreams are made of this
Les doux rêves sont faits de ça
Who am I to disagree ?
Qui suis-je pour ne pas être d'accord
I travel the world
J'ai traversé le monde
And the seven seas
Et les sept mers
Everybody's looking for something
Tout le monde est à la recherche de quelque chose
Some of them want to use you
Certains veulent t'utiliser
Some of them want to get used by you
D'autres veulent que tu les utilises
Some of them want to abuse you
Certains veulent abuser de toi
Some of them want to be abused
D'autres veulent que tu abuses d'eux
(Chorus)
(Hold your head up
(Tiens la tête haute
Keep your head up
Garde la tête haute
Movin' on) x4
En avançant) x4
Some of them want to use you
Certains veulent t'utiliser
Some of them want to get used by you
D'autres veulent que tu les utilises
Some of them want to abuse you
Certains veulent abuser de toi
Some of them want to be abused
D'autres veulent que tu abuses d'eux
(Hold your head up
(Tiens la tête haute
Keep your head up
Garde la tête haute
Movin' on) x4
En avançant) x4
(Chorus) x3
J'avais passé dix ans à dormir en prison.
C'était une drôle d'affaire pleine de coups d'escopette*
De transporteurs de fonds et puis de grosse galette.
Les yeux fermés sur un transatlantique
Joue, joue
Rêve de Ravel, de Mozart et de France
Combo cuivré mais c'était pour la danse,
Pour la danse, pour la danse
Danse cambrée des tambours de Dakar
Tourbillonner la pagne du Sabar
Je rêve, je rêve
Doudou N'diaye Rose respectée de partout
Des présidents, un p'tit mot de Youssou
Youssou
Si jamais tu te casses
Si jamais tu te tires ailleurs
Si jamais tu te lasses
Si jamais tu t'en vas
Sans un mot, en douceur
Je serai sur tes pas
Je suivrai ton odeur, ton odeur
Le bois qui saigne et la forêt qu'on brûle
Les Caïapo vidés de leurs tombeaux
Sauvage, sauvage
Voleurs de terre sur leurs petits chevaux
Deux cartouchières croisées sur la poitrine
Sauvage, sauvage
Si jamais tu te casses
Si jamais tu te tires ailleurs
Si jamais tu te lasses
De ma voix et de ma chaleur
Si jamais tu t'en vas
Je serai sur tes pas
Je suivrai ton odeur, ton odeur
Si jamais tu te casses
Si jamais tu te tires ailleurs
Si jamais tu te lasses
De ma voix et de ma chaleur
Si jamais tu t'en vas
Sans un mot, en douceur
Je serai sur tes pas
Je suivrai ton odeur, ton odeur
Master And Servant
Une chanson que je chantais.
Y a du sang sur le trottoir
C´est sa voix, poussière brûlée
C´est ses ongles sur le blindé.
Ils l´ont battu à mort, il a froid, il a peur.
De n´importe quel pays, de n´importe quelle couleur.
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
Il vivait avec des mots
Qu´on passait sous le manteau
Qui brillaient comme des couteaux.
Il jouait d´la dérision
Comme d´une arme de précision.
Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites
On les connaît par cœur,
Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs.
De n´importe quel pays, de n´importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l´intérieur.
Ça dépend des latitudes
Ça dépend d´ton attitude
C´est cent ans de solitude.
Y a du sang sur mon piano
Y a des bottes sur mon tempo.
Au-dessous du volcan, je l´entends, je l´entends
J´entends battre son cœur.
La musique parfois a des accords mineurs
Qui font grincer les dents du grand libérateur.
De n´importe quel pays, de n´importe quelle couleur.
C´est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Une chanson qui nous ressemble.
C´est la voix de Mendela
Le tempo docteur Fela
Ecoute chanter la foule
Avec les mots qui roulent et font battre son cœur.
De n´importe quel pays, de n´importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l´intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso... Pe Na Pikolo Nionso
CIMMERIEN SINON RIEN !
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle
On the road again, again
On the road again, again
Au petit jour on quittait l'Irlande
Et derrière nous s'éclairait la lande
Il fallait bien un jour qu'on nous pende
On the road again, again
On the road again, again
La mer revient toujours au rivage
Dans les blés mûrs y a des fleurs sauvages
On the road again, again
On the road again, again
Nous étions jeunes et larges d'épaules
On attendait que la mort nous frôle
Elle nous a pris les beaux et les drôles
On the road again, again
On the road again, again
Ami sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours
Tu partiras encore plus lourd
On the road again, again
On the road again, again
On the road again, again
On the road again
Les tamtams vaudous firent se lever les vents
Decouvrant des récifs où des corvetes anglaises
Gisaient depuis longtemps dans leurs manteaux de glaise
J'ai oublié le nom de cette île perdue
Où le courant rapide poussa mon bateau noir
J'ai longtemps recherché une terre inconnue
Planquée au fond des eaux de la mer Caraïbe
Si tu vas à San Salvador
Va voir la femme
Qui sait lire dans les yeux du sort
Aussi dans les flammes
Elle te dira des mots très forts
Comme les tambours
Juste avant le jour
Aux lisières des forêts, du côté de Belém
Vivait un déserteur légionnaire français
Il tenait un comptoir, il vendait des F.M.
Des vivres, des camions, des femmes, du napalm
Il vivait là tout seul, bouffé de fièvre par l'Équateur
La confiance n'était pas son fort, tout se payait d'avance
Sa conscience était dans un port, chez une femme, en France
Il vivait comme un tigre traqué, tendu et relax
Ne parlait jamais du passé, même complètement schlass
Si tu vas à San Salvador
Qui sait lire dans les yeux du sort
Aussi dans les flammes
Elle te dira des mots très forts
Comme les tambours
Qui dansent sur la terre des morts
Juste avant le jour
Enveloppé de chlorophylle et de soleil
Le sable blanc des grandes îles berce le sommeil
Les secrets planqués dans des cases ont des goûts truqués
La nuit tombe comme un couteau sur un condamné
Je ne dis rien des précédents pour toi qui m'écoutes
Mon aventure est dans le vent et dans les écoutes
Le temps n'éponge pas le sang et la terre noire
Si tu vas à San Salvador
Va voir la femme
Qui sait lire dans les yeux du sort
Aussi dans les flammes
Elle te dira des mots très forts
Comme les tambours
Qui dansent sur la terre des morts
Juste avant le jour
Quand on n'reste pas dans son trou de la vie à la mort
On prend des rides et puis des coups, aussi des remords
Petite fille de Bahia, tournée vers le large
Attends encore une autre fois, je suis dans la marge
Entre la mort et l'inconnu faible comme une cible
Mais si tu vas à San Salvador
Va voir la femme
Qui sait lire dans les yeux du sort
Aussi dans les flammes
Elle te dira des mots très forts
Comme les tambours
Qui dansent sur la terre des morts
Juste avant le jour
White la loi, la vie, les condés
White les nuits pour oublier
Phares de la police dans mes yeux métis mouillés
Black mes cheveux et ma peau
Black c'est écrit là sur mon dos
Black comme de la musique soul
Black is black and really beautiful
And tell me
Why, why, why, why, I don't know
Why, why, why, why, I'm born in ghetto
Why, why, why, why, I don't know
Deux noires pour une blanche, c'est inscrit dans le tempo
White la couleur de l'accroc
White la lame, noire le couteau
White la voix qui dit encore
Sur Pigalle la blanche fait rouler ses gouttes d'or
Black la mémoire des bistrots
Black les blousons des travelos
Black la mort dans son linceul
Comme un coup de flingue, une baffe dans la gueule
And tell me
Why, why, why, why, I don't know
Why, why, why, why, I'm born in ghetto
Why, why, why, why, I don't know
Deux noires pour une blanche, c'est inscrit dans le tempo
White la peur qui vous rassure
White le boulevard sous la bavure
White la morale et le nombre
Pigalle devient blanche quand les bronzés sont à l'ombre
Back vers la lumière dorée
Back vers l'épaisseur de forêts
Back très loin de Babylone
Je veux repartir vers les tambours qui bastonnent ...
Peut-on justifier un capitalisme qui s'est développé sur la base de l'esclavage de masse ?
Si l'esclavage n'est pas mauvais, rien n'est mauvais.
La guerre, c'est la paix, la liberté c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force.
Il n'y a qu'une chose que les hommes préfèrent à la liberté, c'est l'esclavage.
Tout métier qui ne fait pas oublier le travail est un esclavage.
Partout où il y a de l'esclavage, il ne peut y avoir éducation.
Dieu fit la liberté, l'homme a fait l'esclavage.
Émancipez-vous de l'esclavage mental. Personne d'autre que nous ne peut libérer nos esprits.
Je préfère la liberté avec le danger que la paix avec l'esclavage.
Comme il est périlleux de libérer un peuple qui préfère l'esclavage.
Travailler de bon gré est pire que l'esclavage.
L'esclavage fait des monstres.
Je préfère la liberté dangereuse à l'esclavage pacifique.
Je ne crois pas qu'à aucune époque l'esclavage ait été utile à la vie et au bien-être social.
Le plus libre de tous les hommes est celui qui peut être libre dans l'esclavage même.
Ho , hooo , j' ai cru voir un animal préhistorique partouzeur de droite ! J'aime les animaux préhistoriques pour leur beauté...leur douceur...leur fidélité à l'homme...et surtout...surtout parce qu'ils ont disparu !!! Celle là je la garde , c' est si bien trouvé , oui !!! C'est p'têt une animal partouzeur de gauche aussi....Qui sait ? Comme notre bon DSK !
Le premier communiste ! Figure en cuivre doré d'Hercule, 2e siècle après JC, qui provient du mur d'Hadrien, près de Birdoswald, Cumbrie, Grande-Bretagne romaine, British Museum
Il a été suggéré que cette statuette unique se veut un portrait de l'empereur Commode, qui, en 191, vers la fin de son règne, commença à s'identifier au héros Hercule. C'est plutôt un banlieusard fatigué par sa journée dans le bus ; avec sa mallette dans la main gauche et qui se tient à une poignée de la main droite... [Non, ça doit être Commode en Hercule ]
"Tous les dieux, ils ne peuvent pas nous séparer. Si j'étais mort et que tu te battais encore pour la vie, je reviendrais des ténèbres. Retour du puits de l'enfer pour combattre à vos côtés. " ~ Valeria, Conan le Barbare
Bordeaux est tombée.
Début juin 732 (ou 731) : Abd al-Rahman s’empare de Bordeaux, le duché d’Aquitaine est à deux doigts de passer sous pavillon omeyyade.
La bataille de Bordeaux s’inscrit dans le contexte de l’invasion de la Gaule par les Berbères débutée en 719.
L’invasion repose alors sur deux campagnes réalisées sous le commandement d’Al-Samh ibn Malik al-Khawlani, wali (gouverneur) de la province d’al-Andalus.
La première est la campagne de Septimanie (actuel Languedoc) de 719 qui se conclut en moins d’un an par la prise notamment de Narbonne, l’antique cité fondée par les Romains.
La deuxième est la campagne d’Aquitaine qui se conclut en 721 par l’échec des Omeyyades au pied des remparts de Toulouse.
Al-Samh ibn Malik al-Khawlani est tué à cette occasion, sa mort clos la première tentative d’invasion du duché d’Aquitaine.
Les Omeyyades se retranchent alors derrière les frontières de l’actuel Languedoc nouvellement conquis.
La victoire de Toulouse de 721 permet à Eudes d’Aquitaine d’apparaitre comme le nouvel homme fort des provinces chrétiennes du sud de la Gaule.
Il est farouchement attaché à l’indépendance de son duché vis-à-vis des royaumes francs de Neustrie et d’Austrasie situés au nord de la Loire.
Mais la doctrine des Omeyyades est intrinsèquement expansionniste et cette dynastie entend reprendre la conquête de la Gaule bien au-delà de la Septimanie.
En 721, le nouveau wali d’Al-Andalus est Ambiza (’Anbasa ibn Suhaym al-Kalbi).
Depuis Narbonne, il poursuit ses conquêtes en prenant Carcassonne puis Nîmes en 725, leur permettant de reconstituer l’antique province de la Narbonnaise à leur bénéfice.
Premier ensemble territorial de la Gaule libre dépendant des Arvernes, le peuple hégémonique de la Gaule celtique au IIe siècle avant l’ère chrétienne, la Narbonnaise passe sous le pavillon romain à la suite de la bataille du Confluent opposant en -121 Bituitos à Quintus Fabius Maximus Allobrogicus.
La tentative de conquête de la Gaule par les Omeyyades commence ainsi comme par celle réussie par les Romains huit cents ans plus tôt : par la prise du pourtour méditerranéen.
Ambiza poussera ses raids en remontant le Rhône puis la Saône, il met à sac Autun le 22 août 725 avant de retourner à Narbonne avec un immense butin.
Les Omeyyades sont désormais solidement implantés en Gaule et apparaissent comme une dynastie avec laquelle il faut nécessairement compter sur le plan politique.
Ils obtiennent un immense succès diplomatique lorsque Munuza, le gouverneur de la Catalogne musulmane, conclu une paix séparée avec Eudes d’Aquitaine.
Ce dernier lui donne sa fille Lampégie en mariage, tournant l’Aquitaine non plus vers les royaumes francs de Gaule au nord de la Loire, mais vers Al-Andalus au sud des Pyrénées.
Ce mariage (supposé et dont la date exacte n’est pas connue) permet aux Omeyyades de poursuivre leur projet de conquête au nord des Pyrénées sur le même modus operandi qu’au sud : au divisant les princes chrétiens entre eux.
Heureusement pour les Francs, les Omeyyades sont tout autant divisés entre eux que les Occidentaux.
En 730, Abd al-Rahman devient le nouveau wali d’Al-Andalus. Il lève une grande armée (les sources chrétiennes parlent de soixante-dix mille hommes) et projette la reprise de la conquête de la Gaule.
Munuza s’y oppose, sur le fondement de la paix conclue avec les Aquitains.
Abd -al-Rahman fait alors tuer Munuza, sa femme Lampégie est envoyée au calife de Damas pour son harem, embrasant ainsi l’Aquitaine en général et son duc Eudes (père de Lampégie) en particulier.
L’année 730 constitue le point de départ de la deuxième campagne d’Aquitaine après l’échec de la première (719-721).
En 732 (ou 731) Abd al-Rahman rassemble ses armées à Pampelune.
Il franchit les Pyrénées par l’ouest en passant par le chemin qui deviendra mythique au siècle suivant : celui de Roncevaux (contrairement à ce qu’indique la carte en visuel).
Le wali d’al-Andalus entend changer de stratégie pour cette deuxième campagne d’Aquitaine.
Plutôt que de s’imposer au cœur de l’Aquitaine à Toulouse, il préfère prendre les troupes d’Eudes à revers en prenant le contrôle de la façade Atlantique du duché.
Bordeaux constitue ainsi une cible de choix pour les Omeyyades.
Au début du mois de juin de l’année 732 (le jour exact n’est pas connu) soixante-dix mille soldats berbères font le siège de Bordeaux (les sources musulmanes parlent de trente mille hommes).
Ils sont opposés à trente mille hommes du duc d’Aquitaine (sources chrétiennes) qui entend venger l’honneur de sa famille après l’exil de sa fille au harem du calife à Damas.
Mais la bataille tourne rapidement à l’avantage des Omeyyades, le commandant de la garnison de la ville est même tué au cours de l’affrontement.
Les soldats aquitains tentent de fuir en suivant le cours de la Garonne mais ils sont rattrapés par les hommes d’Abd al-Rahman et passés les uns après les autres par le fil de l’épée.
La prise de Bordeaux est un immense coup de tonnerre dans le ciel de Gaule.
Désormais les Omeyyades bénéficient d’une solide tête de pont au cœur du duché d’Aquitaine.
La prise de Bordeaux leur ouvre la voie pour le pays des Santons (aujourd’hui Saintes), et des Pictons (aujourd’hui Poitiers) et la richesse considérable de leurs églises.
C’est le signal d’alarme pour Eudes d’Aquitaine.
Il comprend que son duché est désormais en passe de tomber dans les mains des Omeyyades.
Plutôt que de passer sous pavillon hérétique, Eudes se résigne à conclure une alliance avec les Francs de Neustrie et d’Austrasie, tous unis derrière la bannière de Saint Martin portée par Charles Martel.
Ce dernier accepte de fournir une armée aux Aquitains, en contrepartie Eudes s’engage à réintégrer son duché au sein de l’antique Regnum Francorum hérité de Clovis.
L’alliance franco-aquitaine sera mise rapidement en œuvre quelques mois plus tard, avec la célèbre bataille de Poitiers, au cours de laquelle Abd al-Rahman trouvera la mort.
Eudes tiendra parole : son duché passera sous pavillon franc. C’est le début de l’irrésistible ascension de Charles Martel à la tête du Regnum Francorum.
Illustration en haut : Charles de Steuben (1788-1856), Bataille de Poitiers, tableau de 1837.
Tu as tué mon serpent Conan !
Crom est fort sur sa montagne !
De grands peuples Cimmériens ont vécu ici ! Crom ! Pas de paillettes pour le Cimmérien ! Crom est fort sur sa montagne ! Voilà THORGUN , il est fou de chagrin ....... Tu as tué mon serpent ! Tu as tué , mon serpent ! Thorgun est fou de chagrin ! Et dans les ténèbres , les lier ........ RASCAR CAPAC ! Témoins de Nyarlathotep ! Une teube en raisin , comme Belzebuth !!! Imhotep et la calotte de ses morts ! Par les poils du Shoggoth !
Ils m' ont dit pose tes armes et viens cultiver la terre avec nous , je leur ai dit la calotte de vos morts ! De toute façon , c' est bientôt la fin du monde , on va tous mourir ! Il sera bien assez tôt pour y retourner dans la tombe !
De grands peuples Cimmériens ont vécu ici ! Ils m' ont dit pose tes armes et viens cultiver la terre avec nous , je leur ai dit la calotte de vos morts ! De toute façon , c' est bientôt la fin du monde , on va tous mourir ! Il sera bien assez tôt pour y retourner dans la tombe ! Crom ! Pas de paillettes pour le Cimmérien ! Thor a du boudin ! Voilà THORGUN , il est fou de chagrin ....... Tu as tué mon serpent ! Tu manges tes morts en salade , le djo ? Tu as tué , mon serpent ! Thorgun est fou de chagrin ! Tu es VLAD , mais tu n' empales pas tine ni pou ! Par les poils du Shoggoth ! Ce requin lézard vit dans les eaux profondes de l'océan depuis 80 millions d’années, mais l'on ne sait que peu de choses sur lui. Salut vieux ! Tout baigne ? En eaux troubles , avec les murènes ! Pêcheur de poulpe et d' amphores , dans le Vercors , mais pas de saut à l' élastique , j' ai craqué mon slip ! Il voit des Moaïs partout ! Une question me tarabuste depuis ce matin . Un excentrique , est il un ancien conjoint qui n'a plus d'érection ? Et je ne parle pas d'un négwo sans trique car on me taxerait de ... Petit canaillou... L'abstinence sexuelle féminine est-elle 'concentrique' ? Terminé Goldorak, X-Or, vaisseaux spatiaux ou autres robots et ordinateurs neurophiles, Revoici les Druides, les sorcières ou les brigands ! La bonne journée quand même , par Crom ! Qu'importe la destination c'est le voyage qui compte ! Notre histoire deviendra légende ! Crom est fort sur sa montagne ! Plusieurs tyrannosaures ont été retrouvés morts les uns à côté des autres dans un nouveau site fossilifère. Cette découverte confirme une tendance au regroupement chez ces prédateurs préhistoriques. Les animaux partouzeurs de droite , bien sûr !!! De grands peuples Cimmériens ont vécu ici ! C'est quoi ton plaisir le matin ? - Déjeuner dans le crâne de mes ennemis, ça me met de bonne humeur ! CROM est fort sur sa montagne !!! La calotte de tes morts Kévina la Boukrave et Mélissa Lopez ! Animaux préhistorique partouzeurs de droite s' adonnant sans vergogne à leur passe temps favori ! La calotte de vos morts ! Vous allez tous disparaitre à cause d' une météorite !!! Je ...Non rien , je préfère partir ! Mieux vaut partir plutôt que d'entendre ça plutôt qu'd'être sourd. Et c' est reparti .... Bon, dans une demie heure, je nous considère comme définitivement perdus ! Je vous prend à témoin , ils font encore des trucs à plusieurs ....avec la langue en plus ! Si c' est pas malheureux de voir ça ! Sexualité : sens et décence de l’initiative au féminin ! C' est le désert des tartares ! J'adore cette phrase : Roberto était fou amoureux de moi pendant trois ans sans que je le susse. Ne regardez pas Tintin ou vous irez en enfer ! Ne plus faire l’amour, un secret de Polichinelle ! Tséééé , gros , tséééé ! Toute ressemblance avec des situations ou des personnes réelles seraient fortuites ou pur hasard , bien sûr ! Faut pas écouter les scribouilles sornettes qui carburent aux noix de cajou ! C' est la porte ouverte à toutes les fenêtres !
A tous les émules en adoration devant les guerriers greco-romains, lesquels guerriers ne feraient pas un pli devant une horde de Femmes Celtes Guerrières .....
Disparus il y a près de 40 000 ans, ces anciens hominidés étaient autrefois réduits au statut de brutes épaisses, mais les récentes découvertes suggèrent une plus grande proximité avec notre espèce.
Et comme on dit : une année de perdue , ben , une année de perdue ! Il va s' en mettre un petit dans la gueule , non ? Même deux ! Il est où le whisky ? Les tonneaux sont vides ! Tel Archibald Haddock , retiré sur les terres de ses ancêtres ! On est pas malheureux , là ? Ce que beurre et whisky ne peuvent soigner est incurable.
T' es v' nu , cousin , tséééé , mais bon , on va pas se fâcher pour si peu !
Tarlouziton du Centaure ! NOM DE ZEUS ! C' est pas la mort du petit cheval dans les bras de sa mère ! La calotte de vos morts ! Quelle couleur la licorne ? Daddy , je veux un poney ! Je prends des carrioles à travers la plaine ! Whisky pour mes amis, bière pour mon cheval ! C' est vrai quoi , tout le monde à poil !!! Va te faire voir ....Tarlouziton du Centaure ! NOM DE ZEUS ! Je m' éclate au Sénégal , avec ma copine de ch' val ! HOMO ERECTUS ! Tu manges tes morts en salade , le djo ? CENTAURES VERSUS LAPITHES DE SES MORTS !
Moi , je dis que ces gens là .... Non rien ! Bonsoir m' sieur dames !
Ces animaux préhistoriques ont des becs de canards , ils font des trucs avec les castors à la queue plate ! Ne jamais mélanger partouze et politique , c' est la base !
Quelle couleur la licorne ? Daddy , je veux un poney !
Mélusine la fée, ou femme à la queue de serpent…aie confiance !!!
"Le corps de la Vouivre sentait les bois, la terre,la rosée. La rivière passait dans ses yeux verts". " La joie de l'été jurassien, l'innocence des bêtes du matin et la fièvre enfantine des jeux simples..."
Elle parlait d'une voix jeune et sonore, enrichie par l'accent jurassien aux voyelles largement ouvertes, claires comme un pain ...
La Vouivre : Un symbole universel de La Mère Universelle », c'est-à-dire « la Nature naturante »
Mélusine la fée, ou femme à la queue de serpent…
Il s’agit d’un personnage féminin légendaire anguipède du Poitou, d’Alsace, de Lorraine, de Champagne, du Luxembourg et d’Allemagne souvent vue comme fée, et issue des contes populaires et chevaleresques du Moyen Âge. Mais ses origines seraient bien plus anciennes.
Une référence à une femme serpent est donnée à l’époque antique par Hérodote : « Héraclès serait arrivé dans la région qu’on appelle l’Hylaia ; là, il aurait trouvé dans un antre une jeune fille serpent formée de deux natures ; les parties supérieures de son corps, à partir des hanches, étaient d’une femme ; les parties inférieures, d’un reptile. Il la regarda avec étonnement ; puis il lui demanda si elle n’avait pas vu quelque part des cavales vagabondes. Elle répondit que c’était elle-même qui les avait et qu’elle ne les lui rendrait pas avant qu’il se fût uni à elle ; et Héraclès se serait uni à elle pour ce prix. »
— Hérodote, Histoire, Livre 4, Chapitre IX Histoire : Livre quatrième – Melpomène
Mélusine est une femme affligée d’une malédiction qui lui fait pousser une énorme queue de serpent à la place des jambes une fois par semaine, le samedi !
Mélusine d’origine gaëlique traverse la mer et les territoires, et arrive dans le Poitou. Elle y rencontre Raymondin, le neveu du comte de Poitiers. L’histoire retranscrite par Jean d’Arras dans Le Livre de Mélusine (1392), indique que Raymondin est charmé par Mélusine, qui lui promet de lui apporter la prospérité s’il l’épouse, à condition de s’engager à ne pas la voir le samedi. Ils se marièrent, et eurent dix fils.
La légende dit que Mélusine est à l’origine de la ville de Lusignan, dont elle fait de Raymondin le premier roi d’une grande lignée, mais aussi de Tiffauges et des abbayes de La Rochelle. La fée bâtit et distribue le pouvoir, organisant ainsi les frontières du pays.
Mais un jour, le frère de Raymondin, insinue que le samedi Mélusine se cache pour tromper son époux. Ce dernier décide alors de rejoindre la tour que sa femme avait construite pour s’y réfugier, et fait un trou dans la porte pour l’espionner. Et là le drame arrive, la malédiction sur la malédiction… En la découvrant mi femme-mi serpent, Raymondin renie la nature de Mélusine qui, démente, se jette par la fenêtre en poussant un hurlement de douleur. Elle se change entièrement en serpent géant, ou en dragon, et disparaît dans un cri surnaturel. La légende ajoute qu’elle continua à veiller sur sa descendance, et que lorsque l’un d’eux était sur le point de mourir, c’était son cri que l’on entendait percer la nuit.
Voici mon interprétation de Mélusine la fée-serpent. J’ai décidé de lui faire porter une pierre couleur rubis au centre de son front afin de la rapprocher d’une créature médiévale de mon folklore bourguignon. En Bourgogne, il y a un certain nombre de vouivres, des vouivres des engoulants qui sont plutôt une sorte de dragon ailé mi-serpent donc sans patte… Mais je ne parle pas ici de ces vouivres mais de celle de la légende de la Combe à la Serpent, datant du Xème siècle après Jésus Christ. Le site de la Combe, alors couvert de forêt, était selon la légende hanté par une « vouivre » femme serpent… Plus prosaïquement, on peut penser que le lieu aurait abrité, pendant un temps, de nombreux serpents. La Vouivre de la Combe à la Serpent (combe toute proche de Dijon), qui nichait dans un gros rocher en forme de proue à l’entrée de la Combe, allait se baigner à Dijon à la Fontaine Sainte Anne ou à la Fontaine d’Ouche (selon les sources). Cette vouivre femme-serpent, est un équivalent de la Mélusine en somme. Elle porte au milieu de son front une pierre précieuse (escarboucle) dont l’éclat est aveuglant, mais qui porte bonheur à celui qui parviendrait à lui dérober. Pour cela, il n’y a que deux solutions : débusquer la vouivre et la vaincre ou la suivre sans se faire repérer jusqu’à ce qu’elle se baigne ; la vouivre étant obligée d’enlever son escarboucle pour se laver ou se rafraîchir. Lorsqu’elle retire cette pierre, elle se transforme en une réelle splendide jeune femme, mais attention ! Une fois l’escarboucle enlevée, tous ses sens sont aiguisés et elle détecte immédiatement quiconque toucherait son précieux joyaux ; elle redevient alors mi-serpent, et traque avec férocité son voleur…
Il n'y a que les peuples barbares pour croire que la vue d'un homme nu est un spectacle honteux et affreux. Platon
Les dieux ont posé le travail pour sentinelle de la vertu. Offre des prières et non des victimes aux dieux. Où il y a de bonnes lois, il faut peu de dieux. L'artisan ne fait pas les dieux, c'est celui qui les prie.
L'homme est le seul des animaux à croire à des dieux. Platon.
BIENVENUE EN MORDOR !
- Je rêve d'être éternellement à tes cotés. ...
- Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. ...
- - Qu'on le couvre d'or. ...
- Mon père m'a appris que la peur est toujours constante, mais que l'accepter te rend plus fort. ...
- - Vas-y, rentre dans ce sac de couchage !
- Attendez
- On dirait un écrit elfe Je ne sais le lire Peu de gens le peuvent
- C'est le langage du Mordor, que je ne prononcerai pas ici
- Le Mordor? En langage courant, ça dit: Un Anneau pour les gouverner tous
- Un Anneau pour les amener tous, et dans les ténebres les lier
C' est quoi ton problème ? C' est toi , mon problème !!!
Rendez vous au champs d' os , le djo ! Alors , on est pas bien , là , décontractés du slip ? En Crête , loin des crétins ! Si je gagne un voyage ... Je vous attend là bas : pétanque , tir à l' arc , randonnée , plage , piscine , resto ! On est bien , non ? Quand on se porte bien, on ne comprend pas comment on pourrait faire si on était malade ; et quand on l’est, on prend médecine gaiement ; le mal y résout. On n’a plus les passions et les désirs des divertissements et des promenades que la santé donnait, et qui sont incompatibles avec les nécessités de la maladie. La nature donne alors des passions, et des désirs conformes à l’état présent. Ce ne sont que les craintes que nous nous donnons nous mêmes, et non pas la nature qui nous troublent ; parce qu’elles joignent à l’état où nous sommes, les passions de l’état où nous ne sommes pas. Tu crois qu’tu m’impressionnes ? Moi j’sais dire allons à la plage monsieur Renard : « vamos a la playa señor Zorro. » PROJECTILE A ROULETTES , LIVREUR UBER EATS ! Quand on arrive en ville ! Reçus comme des princes chez notre libanais préféré , trois thés offerts et des gâteaux ! Le décor n' a pas changé , par contre les figurants ....C' est simple , je ne reconnais plus un pekin ! Je crois que je vais prendre un cours commenté sur le NECRONOMICON ! C' est du gaélique , je ne le comprend pas bien !
Rendez vous au champs d' os , le djo ! Alors , on est pas bien , là , décontractés du slip ? En Crête , loin des crétins ! Si je gagne un voyage ... Je vous attend là bas : pétanque , tir à l' arc , randonnée , plage , piscine , resto ! On est bien , non ? Quand on se porte bien, on ne comprend pas comment on pourrait faire si on était malade ; et quand on l’est, on prend médecine gaiement ; le mal y résout. On n’a plus les passions et les désirs des divertissements et des promenades que la santé donnait, et qui sont incompatibles avec les nécessités de la maladie. La nature donne alors des passions, et des désirs conformes à l’état présent. Ce ne sont que les craintes que nous nous donnons nous mêmes, et non pas la nature qui nous troublent ; parce qu’elles joignent à l’état où nous sommes, les passions de l’état où nous ne sommes pas. Tu crois qu’tu m’impressionnes ? Moi j’sais dire allons à la plage monsieur Renard : « vamos a la playa señor Zorro. » PROJECTILE A ROULETTES , LIVREUR UBER EATS ! Quand on arrive en ville ! Reçus comme des princes chez notre libanais préféré , trois thés offerts et des gâteaux ! Le décor n' a pas changé , par contre les figurants ....C' est simple , je ne reconnais plus un pekin ! Je crois que je vais prendre un cours commenté sur le NECRONOMICON ! C' est du gaélique , je ne le comprend pas bien !
Le pouvoir du Christ t’oblige ! Catéchisme , sortez vos cahiers !
« Je suis Pazuzu, fils de Hanpa. Le roi des mauvais esprits de l'air qui sort violemment des montagnes en faisant rage, c'est moi ! »
- “L'homme est son propre démon.” ...
133 amis et 100 patates !!! LOPEZ VERSUS HOFFMANN DE SES MORTS ! ACH , la khêrrr , grôsz malheur !!! Le TARZAN CORSE : Touche pas à ma sœur , le parisien de tes morts ! C'est pas un corse, il n'a pas de cagoule et agit seul. Un Corse n'a pas besoin d'être à plusieurs.... il se suffit à lui même ! Les corses c' est comme les auvergnats , un ça va , mais parfois ils sont plusieurs ! Tu lui a cassé la figure au gitan impoli , pour sauver l'honneur de la rousse ? Il a rangé les classeurs pour elle dans la réserve et ensuite il a passé le balai dans la salle ! PAZUZU : Un culte qui gagne à être connu ! Je suis Pazuzu, fils de Hanpa. Le roi des mauvais esprits de l'air qui sort violemment des montagnes en faisant rage, c'est moi ! Pazuzu est une divinité secondaire de la Mésopotamie du Ier millénaire av. J.-C., le roi des démons du vent. Il peut avoir un rôle malfaisant, mais est surtout connu par son aspect de divinité protectrice, servant à combattre diverses maladies, en particulier celles touchant les femmes enceintes qu'apporte la démone Lamashtu. Plusieurs représentations de ce démon sont connues, ainsi que diverses inscriptions mettant en exergue son rôle protecteur, dont des incantations. Pazuzu a acquis une renommée à partir des années 1970 en raison de sa présence dans le film L'Exorciste et ses suites, puis dans diverses œuvres de cinéma, de bande dessinée (Adèle Blanc-Sec), de musique ou dans des jeux vidéo. L'apparence de Pazuzu est connue par plusieurs représentations artistiques sur lesquelles son nom est inscrit, ne laissant pas de doute sur son identité. C'est un être hybride comme cela était courant pour les divinités démoniaques de la Mésopotamie antique. Son aspect peut légèrement varier suivant la représentation. Sa tête est en gros de forme humaine, avec un nez et une bouche de forme animale, de type canin ou félin avec de grandes dents, et des yeux globuleux. Son corps, de forme généralement humaine mais avec un tronc semblable à celui d'un chien, est généralement recouvert d'écailles. Ses mains ressemblent à des pattes d'un animal terminées par des griffes, et ses pieds sont des serres de rapace. Il est souvent représenté avec un pénis en érection qui se termine par une tête de serpent, et sa queue est celle d'un scorpion. Il dispose souvent de quatre ailes, ce qui est courant pour les génies de l'ancienne Assyrie. Son aspect est souvent menaçant : bouche montrant ses crocs ou sa langue, main droite levée en préparation d'un coup. Plusieurs des éléments physiques de Pazuzu rappellent ceux de la divinité protectrice égyptienne Bès, ce qui pourrait refléter une influence de la seconde sur le premier ! Il apparaît donc sur les objets relatifs à Pazuzu qu'il s'agissait d'une divinité protectrice de rang secondaire, que l'on peut qualifier de « génie » ou de « démon ». C'est une divinité liée aux vents venus de l'extérieur de la Mésopotamie, plutôt les vents froids venus des montagnes situées à l'est de la Mésopotamie que les vents chauds provenant des déserts de l'ouest comme on l'a longtemps pensé. D'après plusieurs inscriptions, Pazuzu semble devoir être invoqué pour protéger contre les vents de l'ouest pestilentiels, dont il brise les ailes. Il est fréquemment relié à d'autres divinités : il est présenté comme le fils de Hanpa/Hanbu, dont on ne sait pas grand-chose par ailleurs, et semble être vu comme le compagnon de la démone Lamashtu, très populaire elle aussi au Ier millénaire av. J.-C. , dont il est le principal adversaire quand elle s'attaque à ses victimes, les femmes enceintes, devant la renvoyer dans le Monde souterrain. Pazuzu apparaît également sur des amulettes visant à éviter des mauvais rêves, et plus largement dans des rituels d'exorcisme contre d'autres maux divers, souvent indéterminés (« n'importe quel mal », mimma lemnu en akkadien). C'est aussi une figure ambivalente, ayant un aspect redouté. Pazuzu est décrit par plusieurs inscriptions comme le roi des démons appelés Lilū, qui ont un rôle malfaisant : « Je suis Pazuzu, fils de Hanpa, roi des démons. Je vais monter moi-même la puissante montagne qui tremble, les vents qui soufflent contre elle sont tournés en direction de l'ouest. J'ai brisé moi-même leurs ailes. » C'était donc une divinité qui pouvait avoir un aspect bénéfique quand il s'agissait de repousser certains démons, mais il semble également avoir eu un rôle malfaisant, destructeur en tant que chefs de démons et il existait peut-être des rituels visant à se protéger de ses méfaits, comme sembleraient l'indiquer certaines amulettes dans lesquelles il paraît attaqué par des génies qui pourraient être appelés contre lui de la même manière qu'il est invoqué contre Lamashtu.
La citation la plus culte de « L'exorciste » est : « Ta mère suce des bites en enfer ! » (le démon). Laisse Jésus te baiser ! Denim ! Denim ! Pourquoi tu m’as fait ça Denim ? Le pouvoir du Christ t’oblige ! Pour moi le paradis, c’est un night-club peint tout en blanc avec moi en vedette.
- “Associé avec une femme, le démon lui-même perd la partie.” ...
- Le démon de notre cœur s'appelle "A quoi bon !
Loin des succubes et des goules !!!
Le marchand de sable...
Construction de l'imagination à l'état de veille, destinée à échapper au réel, à satisfaire un désir.
Suite de phénomènes psychiques (d'images, en particulier) se produisant pendant le sommeil.
Le travail , c' est l' esclavage , gai sur la vignolon !
Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'opinion.
De grands peuples Cimmériens ont vécu ici !
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