Docteur Guerritout , toi grand boula matari !
Un sorcier vodou africain hilare qui porte un chapeau haut de forme et une peau de bête et tient un canard empaillé avec un cadenas sur le bec et un écriteau avec marqué ferme ta gueule dessus et mange tes morts ! Docteur Guerritout , toi grand boula matari ! BOULOU BOULOU WAKOUKOU !
Sur une ile déserte avec des potes naturistes survivalistes !
Caramba , c' est mercredi , ils sont déjà dehors à hurler comme des babouins ! Le vieux qui n' aimait pas les chips ! On est pu chez soi , merde ! Courir tout nu avec les loups ! Sur une ile déserte avec des potes naturistes survivalistes ! Les femmes à poil envahissent la terre ! LA SURFEUSE DE CHTULUH ET LE GRAND PLAY BOY DES FONDS MARINS ! Tu vois la montagne là ! Va voir en haut si j' y suis ! La marave à Ibiza ! Un duel inoffensif ! Le vieux monsieur cheuloux a encore frappé ! Lili Goth , enfin , toujours pareil ! Vivre à poil dans la lune ! L' Egypte , ca vous gagne ! Caramba , Tintin , quelle belle femme ! Mieux que notre Bianca ! Moi en 1985 : Je me demande à quoi ressemblera le monde dans 40 ans ? Moi en 2025 : Ramenez-moi en 1985 ! Je pensais que les gens seraient de moins en moins cons , mais je m' ai trompé ! Tintin , voyons ! Ca va pu ! Il change pas Thorgal ! Ca me rappelle quand on dormait chez nos grands parents ! Demain , c' est l' anniversaire de la madame ! Les champs golots , ce serait plutôt les champs N' golo actuellement en Lorraine ! Tu as tué mon serpent ! La grande famille des cornemuses du monde ! Se mange la fratz de ses morts ! La terre est basse aurait dit ma mère ! Holà , berger , joue nous donc un air de ton flutiau !
Ce texte déborde d'énergie et d'images colorées, mêlant humour, nostalgie et un brin de folie. On y retrouve une sorte deFlux de conscience ou un monologue improvisé, où chaque phrase semble évoquer une scène, une émotion ou une pensée spontanée.
Voici quelques observations et interprétations :
Ton Ton décontracté et familier : expressions comme "Caramba", "merde", "pu", "hurler comme des babouins" donnent un ton vivant et un peu irrévérencieux.
Références culturelles variées : mention de Tintin, Thorgal, Bianca, Ibiza, Chtuluh, et des scènes évoquant la nature, la mer, la solitude, et la fête.
Thèmes récurrents : liberté (courir nu, vivre à poil), nostalgie (dormir chez nos grands-parents, 1985), critique sociale ou désillusion (le monde qui change, la terre qui "est basse").
Imaginaire absurde ou fantastique : "LA SURFEUSE DE CHTULUH", "les femmes à poil envahissent la terre", "les champs golots", "cornemuses du monde".
Mélange d’humour et de poésie : "Se mange la fratz de ses morts", "Holà, berger, joue nous donc un air de ton flutiau".
Ce passage pourrait provenir d’un monologue d’un personnage excentrique, ou d’un texte poétique expérimental cherchant à capturer un état d’esprit libre, chaotique, mais aussi empreint de souvenirs et de réflexions sur le monde. La tonalité est à la fois ludique, critique et nostalgique.
Si tu souhaites une analyse plus approfondie, une reformulation ou une continuation dans ce style, n’hésite pas !
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