mes vieux dessins

mes vieux dessins

Le routard entre 1989 et 1995 !

 La mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans !

 

 

004

 

 

 

 

« Voyager c’est naître et mourir à chaque instant. » – Victor Hugo

 

 

 

TRONDHEIM NORVEGE 1990 2

 

 

 

« Le seul véritable voyage, le seul bain de jouvence, ce ne serait pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir d’autres yeux. » – Marcel Proust

 

 

 

 

 

TRONDHEIM NORVEGE 1990 3

 

 

 

« Voyager c’est être infidèle. Soyez-le sans remords. Oubliez vos amis avec des inconnus. » – Paul Morand

 

 

 

 

 

006

 

 

 

« Rien ne développe l’intelligence comme les voyages. » – Emile Zola

 

  

 

 

007

 

  

Un parfait résumé des 25 premières années de ma vie !

 

 

 

005

 

 

 

« Heureux qui comme Ulysse à fait un beau voyage… »   – Joachim Du Bellay

 

 

 

 

008

 

 

 

 

A Lorient sont arrivés (An Dro)

A Lorient sont arrivés
Vive les marins, O beaux mariniers
Trois beaux navires, matilonlaridaine
 
Trois beaux navires chargés de blé

Trois dames s'en virent les marchander
Vive les marins, O beaux mariniers
Marin, marchand, matilonlaridaine
Marin, marchand, combien ton blé

Il n'est pas cher, il est bon blé
Vive les marins, O beaux mariniers
Je le vends 6, matilonlaridaine
Je le vends 6 francs le demay

Entrez mesdames, vous le verrez
Vive les marins, O beaux mariniers
La plus jeune eût, matilonlaridaine
La plus jeune eût le pied léger

Lorsque la belle fut embarquée
 Vive les marins, O beaux mariniers
Les voiles se mirent, matilonlaridaine
Les voiles se mirent à hisser

Pourquoi les amarres sont larguées
Vive les marins, O beaux mariniers
Gentil marchand, matilonlaridaine
Gentil marchand pourquoi voguer

N'entends-tu pas mes enfants pleurer
Vive les marins, O beaux mariniers
Jamais d'enfants, matilonlaridaine
Jamais d'enfants n'avez porté

S'il plaît à Dieu, vous en aurez
Vive les marins, O beaux mariniers
Et ce sera, matilonlaridaine
Et ce sera d'un marinier.

 

 

009

 

 

 

« Il meurt lentement celui qui ne voyage pas. » – Pablo Neruda

 

 

 

 

 

 

010

 

 

 

 

« On ne voyage pas pour voyager, mais pour avoir voyagé » – Alphonse Kar

 

 

 

011

 

 

 Nous étions jeunes et larges d'épaules
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle

On the road again, again
On the road again, again

Au petit jour, on quittait l'Irlande
Et, derrière nous, s'éclairait la lande
Il fallait bien, un jour, qu'on nous pende

On the road again, again
On the road again, again

(On the road again, again, oh)
(On the road again, again, oh)

La mer revient toujours au rivage
Dans les blés mûrs, y a des fleurs sauvages
N'y pense plus, tu es de passage

On the road again, again
On the road again, again

(Again, on the road, again)

Nous étions jeunes et larges d'épaules
On attendait que la mort nous frôle
Elle nous a pris, les beaux et les drôles

On the road again, again
On the road again, again

Ami, sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours?
Tu partira encore plus lourd

On the road again, again
On the road again, again
On the road again, again (oh)
On the road again, again (oh)
On the road again

 

 

 

012

 

 

 

Blues des pêcheurs

I wish I was a fisherman
J'aurais voulu être un pécheur
Tumblin' on the seas
Parcourant les mers
Far away from dry land
Loin de la terre ferme
And its bitter memories
Et ses amers souvenirs
Casting out my sweet line
Lançant ma douce ligne
With abandonment and love
Avec abandon et amour
No ceiling bearin' down on me
Pas de plafond pesant sur moi
Save the starry sky above
Garder le ciel étoilée au-dessus
With light in my head
Avec l'esprit lèger
You in my arms
Toi dans mes bras
Woo!

I wish I was the brakeman
J'aurais voulu être conducteur de train
On a hurtlin' fevered train
Sur un train endiablé qui déboule

Crashing a-headlong into the heartland
S'écrasant tête la première dans le centre
Like a cannon in the rain
Comme un canon sous la pluie
With the beating of the sleepers
Avec le battement des traverses
And the burnin' of the coal
Et le charbon qui se consume
Counting the towns flashing by
Comptant les villes qui passent
In a night that's full of soul
Dans une nuit plein de soul
With light in my head
L'esprit léger
You in my arms
Toi dans mes bras
Woo!

Tomorrow I will be loosened
Demain je serai relâché
From bonds that hold me fast
Des liens qui me retiennent
That the chains all hung around me
Que les chaînes suspendues autour de moi
Will fall away at last
Tomberont enfin
And on that fine and fateful day
Et en ce beau jour plein d'espoir
I will take thee in my hands
Je te prendrai dans mes bras
I will ride on the train
Je roulerai le train
I will be the fisherman
Je serai pécheur
With light in my head
Avec l'esprit léger
You in my arms
Toi dans mes bras

Light in my head
L'esprit léger
You in my arms
Toi dans mes bras

 

 

 

013

 

 

 

Bonsoir, maître de maison,
Et à toute la compagnie, lanturelire lanlira,

Je suis venu ici ce soir,
Pour demander votre fille, lanturelire lanlira,

Monsieur laquelle voulez-vous?
La grande ou bien la petite, lanturelire lanlira,

La petite s'il vous plaît,
Car elle est la plus jolie, lanturelire lanlira,

La grande est au coin du feu,
Elle pleure et elle soupire, lanturelire lanlira,

Ma fille pourquoi pleurez-vous,
 
Demain vous serez mariée, lanturelire lanlira,

Avec un riche marchand,
Un marchand de mort subite, lanturelire lanlira,

Irez vendre jusqu'à à Bordeaux,
A cheval sur une barrique, lanturelire lanlira,

Bonsoir, maître de maison,
Et à toute la compagnie, lanturelire lanlira,

Je suis venu ici ce soir,
C'est pour danser et pour rire, lanturelire lanlira

 

 

 

014

 

 

 Il était un petit marcelot
Lon lon la que dit-on de l'amour ?
Il était un petit marcelot
Roulant sa marchandise

S'en est allé de dans un bourg
Où il y avait trois filles

En voilà une, en voilà deux,
Voilà la plus jolie

Il la plia, il la replia
La mit dans sa valise

Il l'avait pas si bien pliée
On vit sa jupe grise

Ils ne furent pas dedans le bois,
Trois gendarmes les suivent

Arrête, arrête, p'tit marcelot
Qu'à tu dans ta valise?

J'ai des couteaux, j'ai des ciseaux
Des anneaux pour les filles

Tu m'a menti, petit marcelot
Tu emportes une fille

Tu la rendras petit marcelot
Où tu perdras la vie
Tant que j'aurai mon sabre en main
Je défendrai ma mie !

 

 

 

055

 

 

 

J'ai travaillé cinq à six ans,
dans cette grande ville de Rennes (x2)

J'y étais heureux comme un roi,
avec ma mie auprès de moi (x2)

La belle se mit à genoux,
elle demandit à sa mère (x2)

Ma mère il me vient un aimant,
je veux m'y marier promptement (x2)

Ma fille a quoi pense donc tu
ce n'est rien qu'un soldat de guerre (x2)

Nous n'avons que toi comme enfant,
 
tu te marieras richement (x2)

Que je m'y marier richement,
cela mes bien égal ma mère (x2)

Car moi j'aime dedans mon cœur,
ce beau soldat brave artilleur (x2)

hélas, hélas, vient d'arriver
une bien mauvaise nouvelle (x2)

Partout la guerre est déclarée,
les artilleurs vont s'en aller (x2)

En Angleterre sont arrivé,
a coup de canon ils ont tiré (x2)

En artilleur mon ami,
 
ne regrette tu pas de mourir (x2)

Le seul regret que j'ai dans la vie,
c'est de mourir sans revoir ma ville (x2)

J'y étais heureux comme un roi,
avec mamie auprès de moi (x2)

 

 

 

DADA AOUT 1991

 

 

 Sur le sable, face à la mer
Se dresse là, un cimetière
Où les cyprès comme des lances
Sont les gardiens de son silence.

 

Sur le sable, des lits de fer
Sont plantés là, face à la mer
Oh mon ami, la mort t’a emmené
En son bateau pour l’éternité.

Si on allait au cimetière
Voir mon nom gravé sur la pierre,
Saluer les morts face à la mer,
Ivres de vie dans la lumière.

Dans la chaleur, le silence
À l’heure où les cyprès se balancent
Les morts reposent au cimetière
Sous le sable, face à la mer.

 

 

 

DADA ECOSSE

 

 

 Voilà l' été, j' aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s' éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent
Les abeilles!
L'entends rugir les plaisirs de la vie
C' est le retour des amours
Qui nous chauffent les oreilles
Il fait si chaud
Qu' il nous poussent des envies
C' est le bonheur rafraîchi d'un
Cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis

 

 

 

 

DADA FJORD NORVEGE MYRDAL   1990 009

 

 

 

 "Je marchais le long d'un sentier avec deux amis - le soleil couchait - soudainement le ciel tourné rouge - je me suis arrêté, je me sens épuisé et se pencha sur la clôture - il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville - Mes amis marchaient et je me tenais là tremblant d'anxiété - et j'ai senti un cri infini traversant la nature ."

 

 

004

 

 

 “Amour d'été n'est pas de longue durée.”

 

 

 

TRONDHEIM NORVEGE 1990 2

 

 

“C'était la Bretagne et seule cette province leur semblait capable de rivaliser avec la beauté sauvage de leurs îles.”

 

 

 

TRONDHEIM NORVEGE 1990 3

 

 

 

“Les pieds me brûlaient à Paris, je ne pouvais m'habituer au ciel gris et triste de la France, ma patrie; qu'aurais-je donc pensé du ciel de la Bretagne, ma matrie, pour parler grec?”

 

 

001002003

 

 

 

 

Mon cher Frodon, tu m'as demandé un jour si je t'avais tout raconté à propos de mes aventure, bien que je puisse affirmer que je t'ai dit la vérité, je ne t'ai peut être pas tout dit. Je suis vieux maintenant Frodon, je ne suis plus le hobbit que j'étais. Je pense qu'il est temps que tu saches ce qu'il s'est réellement passé. Tout commença, il y a fort longtemps, dans une lointaine contrée à l'est. Une contrée comme on en trouve pas dans le monde d'aujourd'hui.

 

 

 

 

 

 

 

006

 

 

 

 

« - Balin, sonne l'alarme. Appelle tout de suite la garde !

- Qui a t il ?

- Un dragon, UN DRAGON ! »

C'était un cracheur de feu venu du nord, Smaug était venu. Ce jour vit des morts aussi cruelles qu'inutiles car cette ville des hommes n'était rien pour Smaug. Il visait un tout autre but, les dragons convoitent l'or avec une avidité féroce. Erebor était perdue car un dragon veille sur son butin aussi longtemps qu'il vit.

« Sauve qui peut, aidez nous, je vous en prie !! »

 

 

 

007

 

 

 

Un parfait résumé des 25 premières années de ma vie !

 

 

 

005

 

  

 “La solitude est un art.”

 

 

008

 

 

 

 

Il y a le ciel, le soleil, et la mer...

 

 

 

 

009

 

 

 

La mer est là, magnifique, imposante et superbe, avec ses bruits obstinés. Rumeur impérieuse et terrible, elle tient des propos étranges. Les voix d'un infini sont devant vous. Rien de la vie humaine.

 

 

 

 

 

010

 

 

 

Si vous voulez aller sur la mer sans risque de chavirer, alors n'achetez pas un bateau: achetez une île!

 

 

 

011

 

 

 

Chaque vague sait qu'elle est la mer. Ce qui la défait ne la dérange pas car ce qui la brise la recrée.

 

 

012

 

 

 

Les vagues sont peu de choses au regard de l'océan.

 

 

 

 

 

013

 

 

 

Un beau jour, je parlai de la mer au ruisseau, et le ruisseau me considéra comme un fabulateur. Un autre jour, je parlai du ruisseau à la mer, et la mer me considéra comme un diffamateur.

 

 

 

014

 

 

 

La mer est une belle femme qui ondule de tout son corps pour attirer les marins avides d'aventures

 

 

 

055

 

 

 

Pourquoi le spectacle de la mer est-il infiniment et si éternellement agréable ? Parce que la mer offre à la fois l'idée de l'immensité et du mouvement.

 

 

 

 

 

 

 

DADA AOUT 1991

 

 

 

C'est en allant vers la mer que le fleuve reste fidèle à sa source.

 

 

 

 

 

 

 

DADA ECOSSE

 

 

 

La vue d'une belle mer est consolante.

 

 

 

DADA FJORD NORVEGE MYRDAL   1990 009

 

 

 

J'aime la mer et j'aime être en mer. J'aime partir, larguer l'amarre et passer les feux; j'aime naviguer, voir le vent tourner, la brise adonner, le ciel changer, la mer se former et se déformer...

 

 

 

DADA FJORD NORVEGE MYRDAL   1990

 

 

 

 

- Je t'ai dit que mon père était marin-pêcheur ? - Oui. - Et qu'il aimait être bercé par l'océan, il disait que le plus paisible des sommeils, c'est quand on est bercé par l'océan.

 

 

 

 

DADA IRLANDE 1990 002

 

 

 

Oui, la mer est tout. Je l'aime ! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C'est l'immense désert où l'homme n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. Ah ! monsieur, vivez, vivez au sein des mers. Là seulement est l'indépendance ! Là, je ne reconnais pas de maîtres ; là, je suis libre !

 

 

 

 

 

DADA IRLANDE 1990 003

 

 

 

 

Les bouteilles à la mer ne ramènent pas souvent les réponses.

 

 

DADA IRLANDE 1990 004

 

 

 

Choisis d'entrer dans la mer par les petits ruisseaux.

 

 

 

 

 

 

DADA IRLANDE 1990 005

 

 

 

Océan. Masse d'eau occupant à peu près les deux tiers d'un monde destiné à l'homme - lequel est dépourvu de branchies.

 

 

DADA IRLANDE 1990 006

 

 

 

Bacchus a noyé plus d'hommes à la mer que Neptune.

 

 

 

DADA IRLANDE 1990

 

 

 

C'est pas la mer qui fait les vagues, c'est le vent.

 

 

 

 

DADA VIENNE AUTRICHE 1990

 

 

 

 

Qui traverse le désert apprend à connaître la valeur de l'eau. Qui voyage en mer apprend à connaître les dangers de l'eau. Qui ne connaît ni désert ni mer s'indiffère à la vue de l'eau.

 

 

TRONDHEIM NORVEGE 1990 1

 

 

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Je m'souviens, un mardi

J'ai troqué mes santiag'
Et mon cuir un peu zone
contre une paire de dockside
Et un vieux ciré jaune,

J'ai déserté les crasses
Qui m'disaient : Sois prudent
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans !

Dès que le vent soufflera je repartira
 
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu, tant pis...

J'ai eu si mal au coeur
Sur la mer en furie
Qu'j'ai vomi mon quatre-heures
Et mon minuit aussi.

J'me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ca m'a coûté des sous
C'est d'la plaisance, c'est l'pied !

 
Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne.

La mienne m'attend au port
Au bout de la jetée
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés,

Assise sur une bitte
D'amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte,
La mer c'est son malheur !
 

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi...

Je f'rai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m'lâcher la grappe,

J'irai z'aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
 
N'oublieront mon prénom...

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi...

Il est fier mon navire
Il est beau mon bateau
C'est un fameux trois-mâts
Fin comme un oiseau hisse ho !

Mais Tabarly, Pajeot
Kersauzon et Riguidel
 
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles !

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Je m'souviens, un vendredi

Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau,

Regardez votre enfant
 
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin.

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...


14/11/2023
41 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 6 autres membres