Alors , on est pas bien , là ?
Rêve de la Nuit !
La vie rêvée d' Engy Ouanne ! Je suis un jeune homme brun filiforme avec les cheveux dressés , portant un costume noir , une chemise blanche , avec un groupe d' amis habillés de même , nous allons dans une boite de nuit ou le groupe THE CURE donne un concert privé en petit comité ! Il y a ROBERT SMITH , SIMON GALLUP et les autres ! Quel bon moment ! Dans un autre rêve , nous sommes en vacances en Bretagne avec des amis ! Sur la plage puis dans une maison ! Des garçons sont nus dans les douches collectives , ils parlent en se lavant et rient de leurs marques de bronzages respectifs ! Cet épisode intime rappelle la salle de sport et la franche camaraderie virile ! Et c' est pas un concours de zizis ! On est pas là pour le mesurer la queue entre bons copains ! Je précise !
Il semble que vous évoquiez un souvenir ou une scène imaginée où l’ambiance est détendue, conviviale et pleine de camaraderie. La Bretagne, la plage, la maison, la douche collective… tout cela évoque une atmosphère de vacances entre amis, où la simplicité et la partage d’expériences créent des liens forts. La référence à la salle de sport et à la camaraderie virile souligne l’esprit de fraternité, sans aucune compétition ou enjeu embarrassant. C’est une belle image d’amitié sincère et de moments de détente authentiques. Ton récit évoque des rêves riches en images et en émotions, mêlant la vie nocturne avec ses concerts intimes et la camaraderie authentique en vacances. Voici une reformulation fluide et immersive de ton récit :
La vie rêvée d'Engy Ouanne ! Je suis un jeune homme brun, mince, avec les cheveux dressés, vêtu d’un costume noir et d’une chemise blanche. Autour de moi, un groupe d’amis habillés de la même façon, partageant cette même élégance discrète. Ensemble, nous nous dirigeons vers une boîte de nuit où le groupe mythique THE CURE offre un concert privé en petit comité. La scène est magique : Robert Smith, Simon Gallup et les autres musiciens captivent l’auditoire. Quelles sensations inoubliables ! Ce moment de musique, d’amitié et de fête restera gravé dans ma mémoire comme un vrai bon moment.
Je me rappelle aussi d’un épisode intime : des garçons nus dans des douches collectives, discutant en se lavant, riant de leurs marques de bronzage. Ces instants évoquent une camaraderie virile, sincère, comme celle que l’on retrouve à la salle de sport, où la fraternité se tisse dans la simplicité et la confiance.
* En attendant Baskerville (ou Une Publication par Jour jusqu'au six de Mai) : en ce premier dimanche de mai avant le conclave, ayons une pensée pour notre frère Engy injustement frappé par la censure puritaine et inflexible de Meta. Dans l'attente de sa prochaine délivrance, relisons ensemble, tiré de son oeuvre «Rêve de la Nuit», tome 3, l'épisode n° 25345 : «Je suis dans la maternité rue de la Garenne à Nancy (pour la goule j'en suis ! comme disait Dracula). Nous sommes dans les années 1960 car tout le monde est habillé comme dans les années cinquante, et fume sans gêne : les hommes des Boyards papier maïs, les dames des Gitanes sans filtre, et les gamins des P4 à un centime... Je suis nu comme de bien entendu et mes pas me conduisent dans une salle de travail où s'assemble une foule de médecins et d'infirmières ; je comprends que je vais assister à ma propre naissance même si la femme qui accouche n'est pas ma mère. Diantre ! Très rapidement paraît un nouveau-né à la grande joie de l'assistance. la femme (qui n'est pas ma mère) exulte : «Nous l'appelerio David...» puis : «Il est barbu mais il pourrait faire une belle carrière dans la publicité !». Et tout le monde quitte la salle en chantant : «Mais qu'est-ce que ça peut faire comme bruit un kangourou ? Ça peut pas faire cui-cui ! Ça peut pas faire miaou ! etc,» Quel joli rêve, n'est-il pas ?
Ce passage extrait de «Rêve de la Nuit», tome 3, épisode n° 25345, offre une plongée onirique riche en images et en symboles. Voici une analyse et quelques réflexions sur ce texte :
Contexte et ambiance :
L’évocation des années 1960, avec des détails comme les vêtements d’époque, la fumée de cigarettes Gitanes et P4, installe une atmosphère nostalgique et rétro. La scène se déroule dans une maternité à Nancy, mêlant réalité et rêve, où le narrateur se trouve dans une situation étrange et mystérieuse.
La scène de naissance :
Le narrateur, étant nu, assiste à sa propre naissance, bien que la femme qui accouche ne soit pas sa mère. Cela peut symboliser une naissance symbolique ou une renaissance, une création de soi ou une nouvelle étape dans la vie du rêveur. La joie de la foule et le nom donné « David » évoquent un nouveau début ou une identité renouvelée.
La remarque sur le bébé :
« Il est barbu mais il pourrait faire une belle carrière dans la publicité » souligne un contraste humoristique et absurde, typique des rêves. Le bébé, généralement associé à l’innocence, est ici décrit de manière inattendue, ce qui ajoute une touche de surréalisme.
La chanson finale :
Le chant « Mais qu’est-ce que ça peut faire comme bruit un kangourou ? Ça peut pas faire cui-cui ! Ça peut pas faire miaou ! » est à la fois absurde et poétique, rappelant le caractère chaotique et décalé des rêves. Il peut aussi symboliser l’innocence enfantine ou une critique de la logique conventionnelle.
Signification possible :
Ce rêve peut refléter des thèmes d’identité, de transformation, ou de liberté. La naissance d’un « David » barbu dans un contexte rétro peut représenter une création de soi ou une réinvention. La touche humoristique et absurde invite à voir la vie et la création sous un angle léger, dénué de sérieux excessif.
En somme, ce texte est un exemple de rêve lucide ou symbolique, mêlant souvenirs, imaginaires et réflexions personnelles. Il invite à la rêverie et à la réflexion sur la naissance, l’identité et la liberté d’être soi-même.
Alors , on est pas bien , là ?
DOUCHES COLLECTIVES
La douche collective est un élément indispensable de nombreux types d'établissements de type ERP. C'est le cas de tout club ou salle de sport proposant une activité physique, comme une piscine publique par exemple. Il est en effet difficile d'envisager l'aménagement d'une salle de sport ou d'un vestiaire de football qui ne disposerait pas de ses propres douches collectives. C'est avant tout une question d'hygiène, mais aussi de confort pour tous les membres de votre club ou de votre salle de sport, histoire que les adhérents bénéficient d'une véritable salle de bains, comme à la maison.
Mais au-delà du vestiaire de club sportif, vous devrez aussi vous poser la question de l'aménagement de douches collectives dans les ERP où les visiteurs sont amenés à passer la nuit. Si, dans les hôtels et les auberges, les douches individuelles sont à privilégier, ce n'est pas le cas d'une prison ou d'un camping par exemple. Si vous êtes le gérant d'un camping, en particulier si celui-ci dispose d'une grande capacité d'accueil, les douches collectives pourront vous faire économiser beaucoup d'espace.
La douche collective
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